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Que savoir sur le déficit foncier?
L'acquisition d'un terrain peut être motivée par plusieurs raisons, à savoir : le désir de construire une maison, l'installation d'un entrepôt industriel, la construction d'un local commercial. Cet achat est alors un excellent investissement, qui peut absorber la totalité de l'épargne d'un particulier. Il est donc important d'assurer la protection de cet investissement, ce qui nécessite l'obtention de tous les documents légaux en matière foncière. La terre a deux sens : littéraire et immobilier. Le sens littéraire de la terre lui donne la capacité d'un adjectif lié à l'exploitation ou à l'imposition de la terre.
La signification d'immeuble donne une notion qui prête à confusion avec celle d'immeuble, mais il est clair que le mot « terrain » désigne un terrain propre à supporter un établissement immobilier. De plus, il a une signification fiscale qui désigne les impôts sur le revenu foncier. Cette taxe est appelée "taxe foncière". Plusieurs problèmes découlent du foncier, car il renforce non seulement le secteur privé, mais aussi la puissance publique. Ces thématiques sont : les ressources de surface pour les activités humaines, le soutien à la biodiversité et les services écosystémiques. En effet, l'évolution de la démographie et la dégradation des sols font de la terre une ressource non renouvelable. Par conséquent, il est essentiel de développer des stratégies pour augmenter la valeur de la terre.
Vient ensuite l'importance de la terre pour les espèces animales, car elle représente leur habitat naturel. Dès lors, la préservation de ses espèces passe avant celle du territoire, à travers des politiques de création d'espaces naturels protégés. Cependant, l'intérêt de tous les propriétaires terriens est souvent focalisé sur le déficit foncier, qui est un système de lacunes dans l'imposition des revenus fonciers.
Déficit de sol : définition et calcul
Le déficit foncier est un système qui permet au propriétaire d'un bien de déduire la différence entre le coût d'acquisition et le loyer de ce bien, du montant total du loyer de ce même bien. Ce mécanisme est parfait pour les investisseurs en immobilier à but locatif, puisqu'ils peuvent réduire leurs impôts en déduisant tous les frais des travaux des revenus du bien obtenu. Il est évident que les bénéfices réalisés sur un bien locatif sont soumis à l'impôt. Le calcul de la taxe n'est effectif qu'après déduction de certaines charges qu'aurait engendrées le bien. Les dépenses déductibles des revenus de la propriété sont divisées en deux catégories, telles que les dépenses non financières et les dépenses financières. Les charges non financières sont, d'une part, celles liées à l'exploitation du bien. Il s'agit donc des frais d'agence immobilière, des primes d'assurance, des frais de copropriété, des frais de garde et de conciergerie et des frais d'estimation de la taxe foncière. D'autre part, il y a les dépenses liées à la réparation, l'entretien et l'amélioration de la propriété. Ensuite, il y a les charges financières qui sont liées au prêt SCI (prêt qui permet l'achat du bien). Ce prêt génère des intérêts auxquels s'ajoutent les frais de renouvellement, s'ils faisaient partie du prêt.
Pour savoir s'il y a un déficit de sol, il faudra faire un calcul. Le calcul consiste à soustraire les charges financières des revenus du bien. Si le résultat est négatif, alors le déficit sera imputable au revenu, pendant plusieurs années (10 ans). Si le résultat est positif, le total des dépenses non financières est également soustrait. Si le résultat obtenu est positif, alors il n'y a pas de déficit, mais si le résultat est négatif, ce déficit est directement attribuable aux revenus aux dates des impôts fonciers.
L'avantage du déficit : le déficit foncier permet à l'investisseur de réduire considérablement les impôts, augmentant ainsi la valeur du bien immobilier. Vous pouvez devenir riche sans rester bloqué au fisc.